2009 est l'année du 800ème anniversaire de l'existence des Franciscains. C'est en effet en 1209 que saint François d' Assise obtint l'accord du pape Innocent III. La communauté naissante comptait 12 membres.
Le Père Frédéric dans sa "Vie de Saint François d'Assise", parue en 1894, fait le portrait d'un Saint François qui lui ressemble étrangement :
"Ce bienheureux Père plaisait à tout le monde. La joie, la sérénité, la bonté, la modestie paraissaient toujours sur son visage. Il était naturellement doux et poli, compatissant, bienfaisant, généreux, prudent, discret, de bon conseil, fidèle à sa parole, et plein d'énergie. Il était d'un caractère souple et facile, se pliant à l'humeur des autres, se faisant tout à tous, saint avec les saints, et si humble avec les pauvres pécheurs qu'il semblait lui-même un pécheur. Dans sa conversation, il s'énonçait avec grâce ; il était fin et délié dans ses raisonnements ; actif et accommodant dans les affaires ; d'ailleurs très simple dans ses actions et dans ses paroles.
Lorsqu'il prêchait, il dédaignait tous les apprêts du beau langage, les jugeant indignes d'un envoyé de Jésus-Christ. Néanmoins, il parlait avec une éloquence entraînante, avec beaucoup d'esprit, de jugement et de vivacité. Il avait une excellente mémoire ; sa voix était vibrante, sonore et agréable ; sa parole facile, naturelle, persuasive. Il prêchait avec toute la véhémence et tout le feu que donnent une charité ardente, une foi profonde et toutes les tendresses d'une piété pleine d'amour. Une vertu divine assistait continuellement l'homme de Dieu et pénétrait à la fois les esprits et les cœurs. Dès qu'il paraissait quelque part, les populations accouraient pour voir et entendre cet homme nouveau que Dieu envoyait. Il semait les miracles sur ses pas, guérissant les malades, chassant les démons, prédisant l'avenir".
Le Père Frédéric dans sa "Vie de Saint François d'Assise", parue en 1894, fait le portrait d'un Saint François qui lui ressemble étrangement :
"Ce bienheureux Père plaisait à tout le monde. La joie, la sérénité, la bonté, la modestie paraissaient toujours sur son visage. Il était naturellement doux et poli, compatissant, bienfaisant, généreux, prudent, discret, de bon conseil, fidèle à sa parole, et plein d'énergie. Il était d'un caractère souple et facile, se pliant à l'humeur des autres, se faisant tout à tous, saint avec les saints, et si humble avec les pauvres pécheurs qu'il semblait lui-même un pécheur. Dans sa conversation, il s'énonçait avec grâce ; il était fin et délié dans ses raisonnements ; actif et accommodant dans les affaires ; d'ailleurs très simple dans ses actions et dans ses paroles.
Lorsqu'il prêchait, il dédaignait tous les apprêts du beau langage, les jugeant indignes d'un envoyé de Jésus-Christ. Néanmoins, il parlait avec une éloquence entraînante, avec beaucoup d'esprit, de jugement et de vivacité. Il avait une excellente mémoire ; sa voix était vibrante, sonore et agréable ; sa parole facile, naturelle, persuasive. Il prêchait avec toute la véhémence et tout le feu que donnent une charité ardente, une foi profonde et toutes les tendresses d'une piété pleine d'amour. Une vertu divine assistait continuellement l'homme de Dieu et pénétrait à la fois les esprits et les cœurs. Dès qu'il paraissait quelque part, les populations accouraient pour voir et entendre cet homme nouveau que Dieu envoyait. Il semait les miracles sur ses pas, guérissant les malades, chassant les démons, prédisant l'avenir".
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